Reproche
Le passage
Huile sur toile de Hassan Boukhari
Et la lumière s’incruste...
Plénitude sereine qui n’en finit pas de retracer les courbes du ciel, le bleu décousu dans l’ordre des mots, à l’inverse du sens faisant fuir nos peurs, scorpions terrés sous les roches poreuses, sous les peaux rocheuses qui se souviennent des caresses du vent, maladresse du temps ? Peut-être ou ne pourra être, qu’en sait la mer qui fredonne depuis la nuit des temps un air de reproche accroché à tes lèvres comme à mes tourments...
© kb
Huile sur toile de Hassan Boukhari
Et la lumière s’incruste...
Plénitude sereine qui n’en finit pas de retracer les courbes du ciel, le bleu décousu dans l’ordre des mots, à l’inverse du sens faisant fuir nos peurs, scorpions terrés sous les roches poreuses, sous les peaux rocheuses qui se souviennent des caresses du vent, maladresse du temps ? Peut-être ou ne pourra être, qu’en sait la mer qui fredonne depuis la nuit des temps un air de reproche accroché à tes lèvres comme à mes tourments...
© kb
13 commentaires:
À 10:34 AM , Anonyme a dit...
MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
J'ai l'impression que chaque mot, chauqe commentaire rique de gâcher la délicatesse de ce texte.
À 12:08 PM , lynn a dit...
Du même avis, c'est tellement sublime que l'on presque envie juste de passer , de lire mais en silence.
Lynn
À 12:45 PM , Anonyme a dit...
waw! deux méga bombes chez moi qui brossent mes dires dans le sens du poil...je me sens l'âme voyou...m...je n'sais pas faire dak le sifflement inversé (où l'on aspire bruyamment l'air)arme préférée du drageur dial rassederb...:):)
kb
À 4:22 PM , Anonyme a dit...
... comme il y a 2 bombes, et que tu es tout seul, je pourrais venir te rejoindre, pour joindre le futile à l'agréable, et tu verras, on va s'éclater...
ML...explosif !
PS 1: chighaf et lynn, vous savez, c'est juste pour rire. Quoique...
PS 2 : t'ais-je déjà dit que tu poètes comme tu têtes? Grosse tête, va !
À 8:36 PM , Loula la nomade a dit...
Une marée emporte les souvenirs alors qu'une autre les remonte à la surface. L'eau érode, polit, lustre, épure, projette la mémoire. Du temps, de ses affres, de ses tourments ne restent que tatoutages tactiles. J'ai déposé mes yeux sur le rivage et laisse le chant de la matrice océane devenir mon unique guide. Il ne saurait être reproche de la part du rosier sauvage qui ne fleurit que près des eaux salines.
Merci KB
À 8:50 AM , Anonyme a dit...
Sublissime, tes mots m'énivrent.
No comment.
À 12:00 PM , Anonyme a dit...
Tout simplement beau, j'en perds ma rime.
FZ
À 9:52 AM , Anonyme a dit...
Et pourquoi depuis la nuit du temps c’est toujours la faute au temps ! pas courageux ça KB mais à ta décharge c’est sublime :) balle au centre.
c’était un plaisir (et un honneur ) de te voir l’autre jour a bou9al diyal KB :)
Allez petite dédicace :
« Souviens-toi
Etait-ce mai, novembre
Ici ou là ?
Etait-ce un lundi ?
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi
Souviens-toi
Reviens-moi
De tes voyages si loin
Reviens-moi
Tout s'ajoute à ma vie
J'ai besoin de nos chemins qui se croisent
Quand le temps nous rassemble
Ensemble, tout est plus joli. »
Jean-Jacques Goldman
À 11:30 AM , Anonyme a dit...
Larbi!!!! bou9al toi même a l'khribgui :):)
dis donc si t'est encore là j'aimerais bien qu'on se voie
kb
À 12:08 PM , Anonyme a dit...
malheureusement je suis ici à zine .
marra akhra a leghzal :)
À 12:10 PM , Anonyme a dit...
ici = khouribga??
À 12:36 PM , Anonyme a dit...
:)
non ici = Paris et il fait chaud et je m'étouffe et le Maroc est beau et 3acha lmalik :)
À 1:05 PM , Anonyme a dit...
kb,
je passe te relire, heureusement que les monde est fait ausi de poésie et de mot
et toi Larbi, toi oueld 3ami :-)
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