MA ROQUINERIE

"laissez l'onde aller légère aux sources du souvenir...c'est là que se trouve le meilleur à venir" kb

lundi, août 28, 2006

Flux et reflux...






























de ce qui m'a amené à écrire...

........en hommage à Véronique





"je dirais en souriant que le MOT-QUÊTE ne rend pas le chemin PLUS DOUX SOUS LE PIED "

Véronique Blondeau-Gourdon





Issus du milieu aquatique qu’est le liquide amniotique, il est tout à fait naturel que nous entretenions, dès notre plus jeune âge, une étroite relation avec l’élément liquide. Cela commence par la tétée qui calme nos premières sensations d’un être aveugle et impotent. Ce flux liquide, de l’extérieur vers l’intérieur, tout en nous procurant ce bien-être provoqué par la sensation d’un ventre ballottant, nous rappelle la quiétude ressentie dans cet abdomen bedonnant dans lequel nous menions une gentille vie de poisson, jusqu’au moment de l’ostracisme douloureux qui, telle une chasse d’eaux, nous expulse sèchement vers un monde certainement pas meilleur.

Sous l’emprise d’une terreur séculaire que seul l’enfantement sait engendrer, nous expérimentons un autre flux liquide, cette fois-ci de l’intérieur vers l’extérieur, à l’aide d’un organe qui, nous le saurons beaucoup plus tard, est à l’origine de tous ces malheurs reproductifs.

C'est donc suite à l'abrasion répétée de l'ustensile cité précédemment, épicentre d'ébats parentaux qui à défauts d'êtres lubriques furent certainement ludiques, que je vis le jour ou plutôt la nuit car l'heureux événement de mon arrivée tardive sur terre (je suis né un 12 décembre à 00h30mn) coïncidât étrangement avec le fâcheux événement d'une coupure de courant dans l'hôpital qui abritât mes tribulations originelles. Lorsque la lumière revint, j'étais suspendu par mes pieds à une poigne poilue au bout de laquelle un visage retourné (moustache sur le front et yeux aux menton) me fixai d'un regard ne pouvant être qualifié que d'indescriptible étant donné l'absence d'un référentiel dans ma vierge mémoire. Je suppose, rétrospectivement, que ce pêcheur de têtards aux mains gantées de latex dut mal interpréter mon désir communicationnel, manifesté par un abondant jet d'urine en plein visage, auquel il réagit en administrant une claque magistrale sur mes petites fesses bleues qui exprimèrent leur désapprobation en virant au rouge.

Je venais d'expérimenter par ce rituel "hôspitalier" ma première "cause à effet". Drôle de manière tout de même de souhaiter la bienvenue à un nouveau né. En tout cas, cette vigoureuse forme de communication, en provoquant un flux d'influx nerveux se bousculant à travers ma moelle épinière pour débarquer sauvagement dans mon cortex cérébral, eût pour effet de déclencher une autre forme de communication qui allait au fil des ans prendre le dessus sur toutes les autres pour en devenir leur fédératrice. En attendant d'acquérir les mécanismes de la formulation phonétique de mes états d'âme, j'expérimentais sans retenue aucune la portée sonique de mes cordes vocales. Je braillais comme une sirène hystérique arrachée à son élément naturel ( à supposer bien sûr que cet animal fabuleux aie eu un quelconque lien de parenté avec l'âne), brassant désespérément l'air de mes petites menottes à la recherche de cette "eau" protectrice qui me berça tendrement tout au long de mes neuf mois de gestation.

- "Ah le crapaud !" ne trouva rien de mieux à dire mon simiesque passeur d'hommes qu'on appelait "docteur", mettant ainsi fin à mes tergiversations animales. Rassurez vous, je n'étais pas doté de facultés extrasensorielles hyper-développées me permettant de saisir la péjoration descriptive de cette formulation, mais je trouvai à posteriori que cet épiphonème accompagnait pertinemment la transition de mon statut de poisson vers celui éphémère d'amphibie qui ne dura que l'instant d'atteindre l'évier de la nurserie. Là, une plantureuse infirmière (d'après les dires de mon paternel) s'évertua à m'écailler consciencieusement pour me débarrasser des derniers résidus de la vie aquatique.

C'est donc avec allégresse, dans la propreté d'une grenouillère jaune, que j'entamais cette seconde phase, très volatile , de mon existence. Telle une grenouille je sautais de bras en bras pour finalement atterrir sur les nénuphars généreux du sein de ma mère, où enfin je pus expérimenter le flux, ô combien réconfortant, de la tétée. Au fur et à mesure que le liquide nourricier étrennait mes neuves entrailles, le ressac de ma conscience refluait au rythme du ballottement de ma petite panse. Je m'endormit la tête vide et le ventre bien plein.

Je ne me réveillai que quarante ans plus tard, avec la tête pleine et le ventre bien vide, juste après la délicieuse lecture des "éclats de voie"[1] de Véronique Blondeau - gourdon, affamé par l'horrible constatation que tout le déroulement de ma vie, entassé en souvenirs dans une vétuste remise de mon arrière "moi" et en train de refluer à la surface, n'avait jamais atteint mes tripes. Sans doute le flux de sincérité émanant des éclats de voix de Véronique a-t-il su franchir ma léthargie protectrice inconsciemment érigée par une hypersensibilité maladive. Je n'avais jamais parlé de mes CRAINTES d'enfant, ni de mes envies CRIANTES d'adolescent. Je ne m'étais pour ainsi dire jamais vraiment "exprimé"…jamais "raconté". Certes, des millions de mots avaient franchi les lèvres gardiennes de mes pensées secrètes, mais tous étaient filtrés, aseptisés et bridés, inconsciemment, par le poids d'un héritage culturel arabo-mauresque empreint d'un fatalisme stoïque, mettant un point d'honneur à cacher toute faiblesse et surtout transmis oralement à travers les siècles. L'authenticité communicative flagrante de sincérité de véronique ne pouvait laisser indifférent un lecteur en mal d'expression. Je ne savais pas qu'il était possible de dompter les mots avec autant de douceur, de suavité, heureusement et douloureusement à la fois. Tantôt elle riait les mots de son bonheur. Tantôt elle pleurait les maux d'amour d'un fils qu'elle aime tant. Je réalisai, interloqué, que la seule fois où je m'étais vraiment exprimé des bas-fonds de mes tripes c'était lorsque j'ai crié ma naissance suspendu par mes pieds.

Les mots se bousculaient dans ma tête, se piétinant les uns les autres essayant de trouver un "éclat de voix" vers l'extérieur. ils remontaient vers ma gorge en passant par mon cœur. Finalement ils réalisèrent que s'ils étaient, avec le geste, le prolongement de la pensée, l'écriture quant à elle était l'agglomération du geste et de la parole, syncrétisme qui cristallise cette pensée lui permettant ainsi de franchir l'espace et le temps. Je sus à ce moment que Les reflux "réprimés" de ma voix alimenteraient désormais les flux "imprimés" de mon encre, m'ouvrant une nouvelle "voie " de communication, prometteuse d'un plaisir certain qui me ferait retrouver ce bien être ressenti dans ma vie de poisson.







Quand le "d" du hasard de la rencontre transforme l'envie d' ECRIRE en envie de DECRIRE



Khalid Benslimane

[1] Eclats de voie - de Véronique Blondeau-Gourdon

éditions de la voûte - 1996

15 commentaires:

  • À 6:47 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    c'est magnifique.

    doliprane

     
  • À 8:51 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Alors t’est un communicateur né quoi?
    Tu confirmes là la thèse selon laquelle, on naît communicateur ou on l’est pas. Tu confirmes aussi de manière un peu spectaculaire ce que l’on a que tardivement compris à savoir que le bébé est une personne à écouter et à considérer avec égard. Tu confirmes enfin que l’écriture est une délivrance, une thérapie dont beaucoup usaient sans jamais saisir la vraie portée.
    J’apprécie les gens qui aiment les mots à la différence de ceux qui les triturent, les torturent dans leur jeu. J’apprécie aussi les gens qui conjuguent leur enfance au passé simple sans trop se compliquer la vie en donnant à leur moi d’enfant une existence surdimensionnée. J’apprécie enfin tous ceux qui rendent hommage aux autres, leur reconnaissant un bonheur, futile fut-il!

    Mais faire jet d'urine en plein visage du gyneco, c’est oser son tout premier message au premier degré. Reconnais-le!

    SEM… en Doc Gyneco

     
  • À 9:47 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    sem! je préfère avoir excomunié ma terreur de cette manière à cet age plutôt que de m'adonner au malsain plaisir du "blowjob" sur le tard pour essayer de communiquer je ne sais plus quel oedipien message :):)
    mais il est vrai que j'aime bien communiquer...quel que soit l'organe voué à cet effet

    kb...communicologie générale

     
  • À 9:58 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    ohhhh..KB! communicologue...c'est avec la langue? comme péripat...? éclaires ma lanterne :):)

     
  • À 4:37 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    j'adore c'est beau la teneur de tes mots fait volatiliser les coudes des enchainments sementiques souvent rudes à depasser; c'est tellement fluide que j'oublie à l'instant la chaleur de ce climat que je sens l'odeur du mileu aquatique :)

    imane taureau cinvertie en poisson

     
  • À 1:49 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    la naissance !la renaisance..c'est avec kb!
    c'est vrai on lit o a envie d'en parler!!!!
    on nait la claque magistrale,parfois la fesséé bien fesséé deja on se demande su ce contact et attouchement ne fait pas de nous des pervers!
    est ce que les cromagnons flagiaent ainsi leur progenetures?
    bon !revtalisons nous une fois pour toute et c'est fait la fesséé a bien agit sur le cortex de kb!dieu merci!
    pas sur tt le monde ..mais bon les sages femmes sont de plus en plus corrompues !ya les douches froides maintennt et le mec est enrhumé des le depart du cortex et de partout!
    j'aime bien les gants de latex!en fait ça coute combien maintenat ?
    tu cries au debut tu crieras tt le temps la devise donc ...gant de latex!tu ne criras point!
    c'est cynique
    je me souviens que dans une maternité à peine arrivéé ...on a eteind les lumieres dns la salle ..ce n'etait pas une panne!les infirmieres voulaient se branler le cortex sans latex..pour la rime j'ajoute klinex!
    et qd j'ai demandé à parir prise de phobie dans cette salle noire on m'a exposé ;vous prenez vos responsabilités?...waw!
    immagine kb le noir avant la naissance !et assumer avant la naissance!il debarque ou ce gosse ?
    pour ne pas aller loin ça se pase encore ce genrs de debarquement de nos jours ..avant l'arrivee la mére se prend des claques!

     
  • À 2:04 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    sem mon cher sem...et lejet de selles!
    et le degout du genyco qui en prend plein sa gueule!payé il rouspete!
    faut un peu dire que la naissance ne vient pas dans les roses!ni les coups de langues!
    cher sem la fornication qui doit engendrer par latex legal pause aussi une question:bite ou esprit?
    dure labeur de parler de langue!

     
  • À 5:56 AM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Tiens, nous avons plus qu'une ville en commun, plus que des noms, des visages. Quoi? Mais le jaune:-) Dis, attends tu charries pas un peu? Tu sais que le foetus pratique déjà la succion et cela n'a rien à voir avec le reste. Forcément, édentés que sommes à la naissance on va pas se mettre à mastique de la gomme:-)
    Je te mwah et te remwah et te dis tourlou, voilà Pocahontas:-) arrive.... tu as ta bouée:-)? On va se faire un tour du côté de Sidi Bouzid et Sidi Rosier:-)

    Sem, tu gagnes à être connu, toi:-)

    Loula

     
  • À 7:36 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Loula,
    Je gagne quoi, moi ?!! C'est quoi le jeu?!! Je te suis pas...
    SEM... perdu dans la mêlée

     
  • À 2:03 PM , Blogger Jamal a dit...

    Magnifique texte!explorations captivantes que tu nous offres là l'ami KB. Permet moi de saisir l'occasion que me donne le texte sur les rituels des hommes et femmes en blanc qui forment le comité d'accueil que l’Humanité a désigné, pour plaider la cause des nouveaux nés des humains.

    Les bizarreries des pratiques en maternité hospitalières trouvent leur origine dans la nuit des temps. La fessée est dit-on donnée au nouveau né pour provoquer le premier cri, qui lui même gonflera les poumons collés et aplatis par la vie aquatique! Le premier cri est associé par les Bouddhistes à l’idée que le Monde est imparfait et que le chemin vers la Vérité est long.

    Premier crédit d'air!

    De tous les êtres vivants mammifères, seul l’humain a besoin d’aide pour être mis au sein (du moins on la toujours pensé). Le nouveau né de tous les autres se met tout seul à allaiter. Sa survie en dépend.

    En fait, cette vérité s’est trouvée être fausse ! L’humain garde profond en lui un réflexe dit de « reptation » qui nous vient sans doute du temps des premières « soupes du Cambrien ».

    Ce réflexe a été mis en évidence pour la première fois dans le fameux hôpital d’Uppsala en Suède. Et ceci par le simple geste de laisser le bébé sur le ventre de sa mère sans même coupé le cordon ombilical. Le constat est ahurissant ! Le bébé, malgré le vernix caseosa (Substance d'un blanc grisâtre, de consistance graisseuse, qui recouvre en couches plus ou moins épaisses la peau du nouveau-né, et qui a un rôle de protection thermique) ne glisse pas, mais colle au corps de sa mère et se met à « ramper » sur son ventre avec comme objectifs les seins puis l’allaitement. Certes il met du temps pour y arriver, mais la ferme intention est là pour la majeure partie des nouveaux nés.

    Alors pour faire plus vite les humains avec leur dextérité et surtout leur insatiable désir d’intrusion, préfère le tripoter à souhait, le vérifier, le pommader, le numéroter, le peser…et tout cela prend un temps fou avant de pouvoir le remettre à sa mère. Et très souvent aujourd’hui le bébé aura déjà un biberon, du plastic à mâchouiller plutôt que le sein de sa mère à téter…La cinétique du mouvement de succion d’une tétine est complètement différente de celle de la succion du téton de la mère de part la position de la langue. Premier ennui : le syndrome de confusion sein – tétine. Ils sont fous ces humains !

    Première spoliation d’un Droit inné !


    Lg en gestionnaire de la Lactation. ; - )

     
  • À 6:37 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    waw j'adore cette analyse du maitre!
    je me cherche dans le reptation..et je me delecte dans un sbconscient commectif de la fameuse soupe du canabrien..bon ramadan!
    donc d'pres lg ,à peien nés nous voilà rempant vers l'objet de convoitise ,serions nous dans nos instants les plus gluants deja pervers ?et deja deja des reptiles à ventouses ...et serions des lores accrochés à ramper vers la source de la sublimation ?(je me demande ce que vient faire ce mot dans mon con de texte!)
    la confusion reste totale vu qu'à force de sucer latex on ne peut plus rien sucer en vrai sans avoir ce gout amer de caouatchoux dans nos latex ...pour faire la rime le klinex ne sert plus à rien!
    merci LG de la leçon primature !je me demande ce que peuvent bien sucer comme chouppa les gorilles !

     
  • À 7:34 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    salut kb,
    J'apprécie la façon dont tu vois les choses et surtout la manière avec laquelle tu les communiques.
    Je lis souvent tes articles mais je ne sais pas qui tu es. On t'appelle kb mais c'est quoi ton vrai prénom? si possible.

     
  • À 7:36 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    salut kb,
    J'apprécie la façon dont tu vois les choses et surtout la manière avec laquelle tu les communiques.
    Je lis souvent tes articles mais je ne sais pas qui tu es. On t'appelle kb mais c'est quoi ton vrai prénom? si possible.

     
  • À 10:05 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Sarah, KB sont les initiales de notre hote. Son doux prénom est Khalid. Il est né un 12 décembre à 00h30. Il manie si bien la plume qu'il arrive à maitriser le verbe. Ne te fies pas trop à ce texte parce que je ne crois pas que c'est sa vrai raison d'écrire ni de décrire son soi, ses visions de l'autre, du Monde et des choses de la vie. Certes l'écriture est sa passion au delà de son métier qui est aussi intéressant mais le fait est que KB est épris aussi du sens du mot. Et pour véhiculer le sens du mot on a aussi besoin du mot. Son meilleur texte, d'après moi, qui en dit long sur ses raisons d'écrire se présente ainsi :

    A tous ceux qui écrivent sur le net…

    par Khalid Benslimane

    Dans ce monde abstrait du virtuel
    à la précarité des rencontres
    irréelles, nous n'avons que la force des mots pour tenter d'exprimer ce qui en nous est beau.
    Je joue des mots pour qu'ils se fassent lecture et procurent à qui veut bien les saisir un plaisir qui dure.
    Les chinois disent que le mot chien ne mord pas et que le mot source ne désaltère pas! Permettez moi de dire que sans la parole
    nous ne serions que des êtres sans rôles condamnés à faire errer nos âmes dans les affres d'un silence infâme.
    Alors n'hésitez pas! parlez! le langage nous confère cette conscience objectivante, source l'évolution, de prise sur le monde.
    Mais il peut aussi devenir source d'erreur donc de souffrance.
    De ce fait vous n'éviterez pas d'être contrarié, alors un seul contrat riez!
    Riez de la contradictoire idée que le fait de "n'avoir qu'une parole" nous hisse obligatoirement sur le piédestal du respect imposé par le sérieux manque de langage.
    N'avoir qu'une parole est l'apanage des conformistes
    confinés dans l'étroit champ d'un terrain pauvre en paroles.
    Dans ma musette les paroles sautillent, virevoltent et frétillent en une folle farandole
    chantant pour qui les cajole l'hymne à la vie.

    Alors n'ayez plus peur des mots c'est le meilleur remède contre tous les maux et de ce fait ne soyez plus sot en pensant que de trop parler il vous arrive d'être taxé du genre idiot!

    Khalid Benslimane

     
  • À 2:24 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    il ya larme au coin de l'oeil que la dame essaie d'essyer futivement pour que personne ne découvre encore ses émotions...il ya un coeur qui s'allume en chamade(merde pour la pub)...il ya des eteincelles qui fusent comme des feux d'artifices ,la dame a certeinement une hyper tension!!!,il ya toutes ces étoiles qui ressurjissent,en bulles comme ds les bd..la dame a du se cogner la téte en prenant trop d'anti burne!...il ya cet arc en ciel,ce passage dans une diemension de couleurs de paroles de mots,ça c'est reel,la dame se dit ça ne peut etre un mirage ,tant de chaleur via ce rayonnement sincére la dame croit en la vie ,jette ses bequilles ,jette ses remédes endormeurs et recheche la mélodie de l'ange qui vient de lui donner la paix.cette quiétude de kb ne peut qu'engendrer la sérenté et la quiétude .
    merci kb!
    je me retrouve!

     

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