Crépuscule
la vague et l'aile mêlées
à l'heure des incandescences étoilées
déliant de mon moi les paupières
et ma vie qui me suit loin derrière
mon regard ne se connaît pas
posé sur chaque chose
comme un papillon au baiser éphémère
éternellement épris de ce monde
qui me survivra...
à l'heure des incandescences étoilées
déliant de mon moi les paupières
et ma vie qui me suit loin derrière
mon regard ne se connaît pas
posé sur chaque chose
comme un papillon au baiser éphémère
éternellement épris de ce monde
qui me survivra...
kb
publié par kb @ 11:12 AM
7 commentaires:
À 3:08 PM ,
Loula la nomade a dit...
Survivront tes mots, car la terre est tant soit peu immuable. Bonnes vacances!
À 3:56 PM ,
Anonyme a dit...
Elle n'était point encore achevée
que l'Artiste succombait à la joie de sa mort
pendant une pièce jouée sur une scéne
d'un théatre bondé d'amateurs de Verbe
on imagina Molière étreindre la faucheuse
et ce ne fut que l'Autre de Lambdaoui
on ne baissa pas le rideau et malgré cela
Rappel et Rappel s'enchainérent
triste, le public applaudissait le Talent
en maudissant le crépuscule de l'Artiste...
À 8:42 PM ,
Anonyme a dit...
KB...j'aime pas venir ici quand t'es pas là!!!
amuses-toi bien mais rentre vite quand meme !!! ta verve me manque....
Miss pouss....solitaire :):)
À 12:07 AM ,
Anonyme a dit...
qu'advienne la nuit sur les toits crayeux de la ville. Qu'advienne le vent dans les branches des pins qui savent où s'écoule le temps. Qu'advienne la pluie sur les pavés des chemins tortueux qui mènent à la grève.Qu'adviennent les mots qui pleurent ton coeur aux frissons des non dits. Qu'advienne ma voix qui murmure dans l'amphore brisée sur la plage où s'abreuvent encore les vagues de la mer....la mer à laquelle j'ai crié ton nom...
écoute le chant de ses vagues...elles te mèneront jusqu'à moi
kb...le vieil homme et l'amer
À 3:07 PM ,
Anonyme a dit...
Tribunal des blogs chez moi... au cas ou tu serai curieux de savoir qlq chose :)
Bonne journée!
À 5:04 PM ,
Anonyme a dit...
"Qu'adviennent les mots qui pleurent ton coeur aux frissons des non dits"
Joli, Kb, qu'est ce que tu sais leur parler !... après le "je n'aime rebondir que sur le plus tendre des cours" ;) voilà une autre que je vais te piquer sans ton autorisation :)
dima...lecteur voyeur
À 10:59 AM ,
Anonyme a dit...
une longue rame à la main, je vogue vers une houleuse mer...en quête de ces mots...des mots légers, des mots tremblants, des mots ailés que le vent semble avoir modulés...pour rendre, en leur douceur subtile et fugitive, tous mes tressaillements ignorés...
En quête de ce rêve...ma barque chargée d'étoiles promises...je vogue vers ces non-dits...seulement murmurés .
Miss pouss....en vogue :)
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