"laissez l'onde aller légère aux sources du souvenir...c'est là que se trouve le meilleur à venir"
kb
lundi, octobre 02, 2006
Automne
à la feuille qui tombe frêle soupirent les matins d'automne neigeant nos rêves aux fils des cheveux blancs la vie si brève s'annonçait longue pourtant leurrée de sons de grève d'amours chantés au vol du goéland
Wa KB:-) Ah si je pouvais te raconter mon samedi après midi sur la grève. Les goélands étaient au rendez-vous. L'air frais du grand large et les feuillent qui virevoltaient, acceptant de danser une dernier fois avant de se reposer en attendant telles de jeunes débutantes une danse au rythme plus endiablé. La nature s'était faite belle se parant de ses vraies couleurs. Les vagues venaient caresser les galets faisant oublier pour un instant qu'elles sont en d'autres moments féroces instruments de l'érosion. De l'ardoise qui, au moindre effort humain, s'effrite. Bref, une sortie dans un coin féérique avec en prime les plus beaux coucher de soleil. Ton texte me fait rappeler le Bas du fleuve et sa beauté.
Je ne comprends rien à ce que tu racontes. Tu ne peux parler normalement comme tout le monde ? Tu peux savoir comme ça m'enerve ! Des fois, tu as un langage construit, structuré, ordonné - un sujet, un verbe, un complément et d'autres trucs sympas pour compléter, et puis, ds fois, tu ommences à divaguer : "la feuille frêle aux cheveux blancs qui tombe et qui soupire comme la neige et comme elle s'st sentie leurrée, elle a décidé de faire la grève d'amour et de couper le son...". C'est quoi ce truc. Qu'est ce que t'as encore bu ? La harira ? ah oui, elle fait ça aussi, la salope ! ML...soupe au lait
Ps 1: comme je suis momentanément "interdit de blog" alors je déblog ailleurs PS 2 : dis)moi, qui a volé le goéland ?
5 commentaires:
À 2:56 PM , Anonyme a dit...
Bonjour,
C'est mon premier passage sur votre blog, j'ai eu un réel plaisir à lire vos différents billets.
je ne trouve q'un seul descriptif : Raffiné.
Ramadan Moubarak Said
À 8:47 PM , Loula la nomade a dit...
Wa KB:-)
Ah si je pouvais te raconter mon samedi après midi sur la grève. Les goélands étaient au rendez-vous. L'air frais du grand large et les feuillent qui virevoltaient, acceptant de danser une dernier fois avant de se reposer en attendant telles de jeunes débutantes une danse au rythme plus endiablé. La nature s'était faite belle se parant de ses vraies couleurs.
Les vagues venaient caresser les galets faisant oublier pour un instant qu'elles sont en d'autres moments féroces instruments de l'érosion. De l'ardoise qui, au moindre effort humain, s'effrite.
Bref, une sortie dans un coin féérique avec en prime les plus beaux coucher de soleil. Ton texte me fait rappeler le Bas du fleuve et sa beauté.
À 10:27 AM , Anonyme a dit...
Je ne comprends rien à ce que tu racontes. Tu ne peux parler normalement comme tout le monde ? Tu peux savoir comme ça m'enerve ! Des fois, tu as un langage construit, structuré, ordonné - un sujet, un verbe, un complément et d'autres trucs sympas pour compléter, et puis, ds fois, tu ommences à divaguer : "la feuille frêle aux cheveux blancs qui tombe et qui soupire comme la neige et comme elle s'st sentie leurrée, elle a décidé de faire la grève d'amour et de couper le son...". C'est quoi ce truc. Qu'est ce que t'as encore bu ? La harira ? ah oui, elle fait ça aussi, la salope !
ML...soupe au lait
Ps 1: comme je suis momentanément "interdit de blog" alors je déblog ailleurs
PS 2 : dis)moi, qui a volé le goéland ?
À 11:04 AM , kb a dit...
M.L déblogues comme tu veux en attendant qu'ayoub te débloque le blog pour que je puisse à mon tour aller débloguer ailleurs
Loula...mine de rien tu me l'as raconté ton samedi :)
À 1:45 PM , Loula la nomade a dit...
KB,
Iwa, u as le don de me faire parler:-)
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil