MA ROQUINERIE

"laissez l'onde aller légère aux sources du souvenir...c'est là que se trouve le meilleur à venir" kb

mardi, septembre 20, 2005

ANNONCEURS/ PRESSE : Des chèvres et des choux


Durant ces dix dernières années, un tas de revues spécialisées ont tenté de voir le jour au Maroc mais ont du rapidement mettre la clef sous le paillasson à cause d'un lectorat majoritaire (celui qui renfloue les caisses et assure la pérennité de toute activité médiatique)qui présente des signes de fatigue évidents au bout de la dixième ligne d'un article.
Loin de moi l'intention de défendre le journalisme "bovin", mais force est de constater que le taux d'analphabétisme "en vigueur" ( oui messieurs dames...en vigueur.. puisque voulu et maintenu dans son état actuel) limite en conséquence une production qualitative journalistique. J'ai souvent vu des représentants de ce lectorat potentiel se mettre à trois pour lire en une demie journée cet article que vous allez, bons comme vous êtes, parcourir dans tous les sens que nous offre la géométrie euclidienne en moins de cinq minutes, pour essayer d'en comprendre le contenu avec une marge d'erreur de 30 à 50%.
N'ont résisté des zouaves de l'histoire au jour le jour que ceux ayant su mettre une bride à leurs élans rhétoriciens quand la marge bénéficiaire l'imposait.
Un des autres secrets assurant la longévité médiatique aux feuilles de choux et emballages à salades est de savoir préserver les susceptibilités des "gros" annonceurs. Y a-t-il sur le marché un journal à gros tirage capable de critiquer ouvertement I.A.M? Y a-t-il sur le marché un journal à gros tirage capable de critiquer ouvertement RAM? Vous pensez bien que non. Ces professionnels de l'information ont tout de même des principes :"ne pas mordre la main de ceux qui les nourrissent" quand bien même cela se fasse au détriment des règles déontologiques régissant la profession et de la vérité tout simplement...et puis la vérité qu'en ont à faire cette majorité d'illettrés!
Pourtant il y avait beaucoup à dire sur la cession de Maroc Télécom suivi de la mise sous tutelle exogène de l'ANRT qui venait mettre la tête sur le billot à notre patrimoine "allôtique". Nous n'avons plus aucun pouvoir décisionnel sur nos propres télécommunications et personne ne s'aventure à commenter le côté pernicieux de la chose.
Il y aussi beaucoup à dire sur la RAM et le conflit actuel en train de miner l'industrie aéronautique dans notre pays. Personne de la presse nationale n’accorde toute l'importance qu'il se doit à ce mouvement de grève entamé maintenant depuis près de trois mois et qui semble s'être engagé dans une ornière, avec toutes les conséquences néfastes induites. Sans m'étendre sur la part des responsabilités qui incombe à chacune des deux parties dans l'état actuel des choses, je me limiterai à dire que la presse aurait pu, par une intervention "impartiale" plus adéquate, servir de catalyseur à ce dialogue en rupture qui mène immanquablement l'issue du conflit vers une situation où il n'y aura que des perdants.
D'autant plus qu'une telle initiative – un devoir national - loin de s'apparenter à une morsure, aurait au contraire rendu un grand service à tout le monde.
Faut-il donc que nous soyons devenus chèvres pour que l'on continue à nous gaver de ces feuilles de choux?

kb...de la gazette du bovin

16 commentaires:

  • À 12:45 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Je suis passé, j,'ai vu, j'ai lu. Je sais de quoi tu parles et je pense même en connaître un petit rayon, déformation professionnelle oblige. Mais, comme je suis pressé ( j'ai le droit d'aller bouffer, moi aussi, oui ou m....?!?), je te promets de revenir tout à l'heure. Alors, ne quitte pas, j'arrive. En attendant, en m'attendant, tu peux, au milieu de compter bêtement les moutons, lire, par exemple, un journal. Ha Ha Ha!
    Laroussi...pressé ( 2e degré)

     
  • À 1:24 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Post trés interessant dans la mesure où il soulève une question trés épineuses qu'est la relation médias/annonceurs..
    Toutefois J'ai deux petites remarques que je juge importantes
    Primo:La vraie question qui devrait se poser..existe-t-il vraiment une média "indépendant"..plusieurs faits aussi bien dans ce bled qu'ailleurs démontrent que les relations entre médias et annonceurs sont trés intriquées au point de transformer "l'indépendance"des méédias en un simple mythe..
    Secondo:Ton texte revêt une importance considérable puisqu'il émane d'un bloggeur..les blogs étant considérés comme de sérieuses alternatives pour les circuits classiques de l'information..la notion obsolète de "mass médias"est entrain de céder place à une notion plus révolutionnaire de "médias de masses"..au point de menacer sérieusement les intérêts des gros annonceurs qui risquent d'un jour au lendemain de perdre leur mainmise sur les médias..

    Cordialement
    Othmane boumaalif
    http://www.othmaneboumaalif.tk
    http://www.courriercasablanca.com

     
  • À 3:48 PM , Blogger kb a dit...

    c'est un plaisir de te voir passer par là othmane.
    disons pour résumer ton secundo que les blogs ne perdent pas leur feuilles en automne...quoique certaines variétés de presse (arbre aux nouvelles) font fi de la saison quand il s'agit de perdre quelques feuilles pour gagner du temps et par conséquent de l'argent :)

    kb...blogovert

     
  • À 7:23 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    bien dis monsieur ! je suis technicien en gréve .On as pas de presse national libre .pour rependre a Boumaalif une média "indépendant" ça n'existe pas au maroc malheureusement.
    bon courage merci pour ton blog.j'éspere te lire bientôt incha allah.

     
  • À 8:58 PM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Il y a si longtemps que je n'ai lu un canard qui me ravisse de la page titre à la dernière. Je suis tjrs outrée par le manque d'introspection, par les billets écrits à la hâte, par les donneurs de leçons. Et quand j'en trouve un qui m'intéresse sa direction marketing est même pas foutue d'installer un système de paiement internet via cartes de crédit. Même chose ici pour les journaux de la diaspora à passer à la moulinette. Je crois sincèrement que le métier de journaliste n'est qu'une devanture car à lire les éditoriaux (Fahd Yata et coubania)je me dis que nous sommes un bien pauvre peuple obligé de se farcir pareilles salades.
    Loula qui vire au rouge

     
  • À 12:57 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Chose promise… réponse très claire pas forcément de mise. En vérité, je t’avais promis de revenir pour te dire les 4 vérités (et même un peu plus) sur notre presse qui jamais ne se presse (parce que « lizarbou matou ») pour dire la vérité. À dire vrai, si je me mets, là, tout de suite, devant vous, ici et maintenant, à dire tout ce que je pense de notre presse et de tous ceux qui la font et la défont, la mènent et la malmènent, l’arrangent et la dérangent, il va falloir que chacun de vous et chacune de vous me promette les choses suivantes :
    1 - m’assurer une protection rapprochée durant une durée volontairement indéterminée.
    2 - assurer le gîte et le couvert ( et ça tombe bien je suis vachement à découvert) à mon auguste et néanmoins exigeante personne, ainsi qu’à tous mes proches institutionnels ( conjoint, enfants et compagnie) et mes proches ( très proches) « clandestins » ( et je ne vais vous faire un dessin) et tout ça durant une durée que je serais seul juge à définir et à limiter ( il faut bien profiter des autres de temps en temps)
    3 – trouver un remplacent à mon auguste et néanmoins irremplaçable personne ( même si, paraît-il, personne n’est irremplaçable) à la tête de ma si prospère affaire durant toute la période où je serais acculé à reculer pour mieux sauter à condition que je ne saute pas avant.
    Si, pour des raisons qui vous regardent et qui ne m’intéressent guère, aucun ni aucune d’entre vous n’est capable de me garantir ces 3 conditions pourtant si simples, je vous demanderais (c’est à toi, entre autres, kb, provocateur de métier que je cause !) de ne plus, à l’avenir) m’embêter avec des thèmes aussi biscornus, nuls et non avenus. La presse ? Qu’est ce que tu espérais que j’en dise, hein ? Qu’elle est vendue, mais si elle ne se vend pas des masses, hein ? Qu’elle est racoleuse, radoteuse, rabâcheuse des même « cheuses », et par rares occasions intéressées, râleuse, hein ? Que même celle qui se veut bandante (mina el kalb ila kalb) n’est pas si « indébandante » que ça, hein ?) Que la plupart s’informe auprès de qui vous savez, pour nous informer de ce que nous savons, hein ? Que ceux qui osent ( de moins en moins) à passer outres leurs maîtres informateurs, se font passer un savon, je vous dis pas, hein ? Que ceux qui se disent libérés de la mainmise du pouvoir pàlitico-flicard, s’enchainent au pouvoir économico-pubard, hein ? Que les « entreprises de presse » que beaucoup s’empressent, ces derniers jours, de mettre sous presse, salivent déjà aux subventions que l’état va bientôt leur distribuer généreusement sans même nommer les véritables bailleurs de fonds, c’est-à-dire, nous contribuables et néanmoins bailleurs jour et nuit, hein ? Ou zid ou zid… C’est ça, salaud, que tu veux que je dise pour que je me retrouve, moi aussi, rue Brahim Roudani, au bar…de la Presse, Hein ? Eh bien non ! Je ne vais jamais le dire ! ça va pas non ?!?

    Laroussi...pas pressé d'en finir ( 3e degré, kb)

     
  • À 3:28 PM , Blogger kb a dit...

    ok ok Moulay! t'as rien dit...et j'ai tout entendu.
    laisse moi quand même te dire que mon journal préféré c'est le matin du lundi. Avec tous les suppléments qu'ils mettent dedans, je me retrouve avez 3 kg de papier pour 2dh50....c'est pas cher je trouve...l'état subventionne! c'est moins cher que le PQ en tout cas sauf que lorsque vous vous torchez le popotin avec, vos fesses font office de plaque d'impression.
    une fois que je me déshabillais tranquille dans le hammam du coin (bonjour houda), me délectant à l'avance des vertus d'un bain de vapeur, les flics, alertés par le guellas (il avait en plus le profil du nom...une tête à se faire chier dessus)me tombent dessus sans ménagement ni management. Ahuri et abasourdi par une pluie de nions, je réussis quand même à formuler, tant bien que mal et plus mal que bien le questionnement légitime quant à la raison de cette agression caractérisée et caractérielle de surcroît. Eh bien figurez vous j'avais, imprimé en couleur, la photo de ben laden sur mon noble postérieur. La preuve de mon innocence et de ma non appartenance à une quelconque cellule terroriste s’étant désagrégée avec la chasse d’eau que j’avais tiré, je ne pus donc l’apporter ;ce qui me valu d’être porté manu militari vers le commissariat le plus proche pour de amples investigations…je ne vous dis pas lesquels vous en rougiriez à ma place.
    Un conseil donc, si jamais l’envie ou la pénurie de PQ vous pousse à utiliser l’alternative journalistique, conservez le fruit de votre essuyage pendant au moins une semaine avant de le jeter…on ne sait jamais

    kb...torché à chaud

     
  • À 6:52 PM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Tu m'excuseras de te dire que t'es pas fortiche en ce qui concerne l'avenir de notre planète.
    Non seulement, ces papiers polluent les cervelles, mais toi tu les jettes.
    Mais sérieusement que faire. Moi, je rigole quand j'entends parler de convention collective de la presse.

    Loula écolo avec une envie subite de lui tirer les préhensibles

     
  • À 10:06 PM , Blogger kb a dit...

    ah bon?
    je pensais que leur traitement à mon engeance naturelle produite par mon alchime intestinale était suffisante pour neutraliser toute leur nocivité démagogique mais apparemment ce n'est pas suffisant.
    Bon dorénavant je les ferai sécher au soleil et m'en servirai pour alimenter l'âtre ces journées de grisaille qui vous gèlent les choquottes....ça sentira bon la campagne et me rappelera les bonnes vieilles odeurs de ma grande tante incontinente et ça serait le pied si t'es là avec moi à siroter un petit thé au coin du feu.

    kb..répréhensible à souhait :):):)

     
  • À 1:44 AM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    T'avais compris que j'avais omis les :-D et les ;-D.
    Bein quoi, faut bien y penser, à d'autres sources d'énergie.
    Tu sais, il y a des moments où je vous envie d'être dans le plus beau pays du monde.
    Ici, c'est pareil. Si tu savais les sottises qui s'écrivent dans les canards car à part pour quelques grands tirages, c'est la débandade.
    M.L., nous vous offrons le gîte:-)

    Bon début de journée

     
  • À 9:06 AM , Blogger kb a dit...

    M.L...pour le couvert tu devras te contenter de batata matin midi et soir :)
    ça reste tout de même mieux que l'opium et le baton qu'on nous sert au quotidien

    kb

     
  • À 3:58 PM , Blogger kb a dit...

    sinon pour en revenir au sujet, il y a quelques temps de cela j'avais répondu (réponse parue dans libération du 22 décembre 2004) à un article de Omar Mahmoud Benjelloun paru dans ce même journal qui d'une manière assez subtile remettait en cause la liberté de penser de la ligne éditoriale du journal hebdomadaire
    voici cette réponse:


    Les mains invisibles (réponse)

    Il est bien plus qu'évident qu'un consensus politique s'accordant à reconnaître l'existence d'une liberté d'opinion existe bel et bien. Cependant il serait judicieux d'en clarifier de manière plus objective les contours et surtout, d'en définir clairement le contexte – à forte tendance économique – du champ géopolitique dans lequel s'exerce cette pseudo-liberté.

    Si effectivement, comme vous l'avez si bien expliqué, l'interprétation du Maroc d'aujourd'hui repose sur une mutation perceptible de la sphère interactive régissant l'équilibre politique du trinôme "monarchie-société civile-makhzen", il n'en demeure pas moins que l'influx essentiel de cette transformation, chose que vous semblez avoir négligé dans votre analyse pertinente, est d'ordre purement économique dans sa conception la plus monstrueuse; à savoir l'ultra libéralisme.

    On commettrait sans doute une erreur si on continuait à raisonner uniquement "politiquement" quant à cette attitude "réactionnaire" affichée par certaines franges de notre presse indépendante. Comme on commettrait une erreur si l'on s'entêtait à rechercher les causes de cette implication négative de notre espace expressif uniquement dans le microcosme de la donne réformiste nationale.

    Si réforme, avec les évolutions qui s'en suivent, il y a, elle répond d'abord et avant tout à une exigence économique mondiale dictée par une nouvelle conception, exogène comme vous dites, de la liberté qui semble s'être engagée dans une ornière, réduisant son propre champ d'application à un simulacre démocratique.

    Rappelons qu'au Maroc les signes avant coureurs d'une stratégie de réforme furent d'abord économiques. Sous la pression des institutions internationales dans les années 80, le royaume avait opté pour une politique de rigueur, appuyée par un programme de privatisation des plus agressifs, afin d'assainir les comptes de la nation. Une politique perpétuée sous le règne de Mohamed VI. Mais voilà, près de vingt ans plus tard, si le PAS (programme d'ajustement structurel) à réussi tant bien que mal à comprimer l'inflation et réduire le déficit budgétaire il n'en demeure pas moins que la condition du Maroc "d'en bas" n'aura pas évolué d'un iota et ce, malgré une surliquidité dont le redéploiement se fait toujours attendre .

    C'est cet anachronisme entre l'évolution, en "macro", de l'image de l'état et la stagnation, en "micro", de la situation sociale qui, à mon avis, désarçonne notre presse indépendante qui sacrifie son espace de libre expression durement acquis pour maintenir sa crédibilité, et par conséquent sa pérennité, auprès de son substrat constitutif: l'opinion publique dont elle se veut le porte parole.

    D'un autre côté l'involution qu'entame la manifestation actuelle de la démocratie rend difficile l'adhésion d'une presse qui se veut "indépendante" à tout projet national justifié par des considérations faussement populaires. En résumé, pour ne pas sacrifier moi même la clarté des propos aux besoins de la rhétorique, je dirais que ce qui est en train de se jouer, à l'échelle mondiale d'abord, c'est l'abandon du principe de souveraineté populaire si chèrement conquis en 1789 avec la déclaration des droits de l'homme. Ce qui est en train d'aboutir, c'est le projet inavouable de revenir sur plus de deux cents ans de conquêtes politiques et sociales, par le haut, en construisant au-dessus des Etats une autorité qui s'impose à eux, qui réduit les acquis démocratiques et détruit les progrès sociaux de manière irréversible. Le tout, avec l'alibi de la modernité : cheval de bataille par excellence de cette vague déferlante qu'est l'ultra libéralisme.

    Les répercussions à l'échelon des nations sont désastreuses. L'ultra libéralisme, contrairement à la démocratie, n'est pas le produit d'une "civilisation", mais éventuellement son parasite…presque par définition. Il se moque de ce qu'est la "société" au sens politique et au sens "légal" du terme; au besoin et si la société laisse faire, il joue et abuse même de ses fondements et principes pour s'épanouir…les démocraties étant bien sûr son terrain de jeu de prédilection, pour autant que la démocratie régresse jusqu'au moins disant et s'installe à la limite du simulacre. il n'a donc besoin ni d'un Basri, ni d'un Papon pour étendre ses mains invisibles puisque c'est l'état lui même qui lui sert de pion.

    Dans un tel contexte néo-libéral qui, par une sournoise inversion des valeurs, asservit le "politique", quelle autre attitude pourrait adopter une presse qui se voudrait "indépendante" sinon (pour l'instant) un comportement "réactionnaire", le plus en mesure de préserver ses faibles acquis en matière de liberté?

    KB...back in the time

     
  • À 4:47 PM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB comme j'aime le lire!

    Voilà une réponse comme j'aime les lire, une réponse qui va au coeur du problème et le présente dans ses habits de naissance. Le politique est sans conteste prisonnier d'une économie de plus en plus rapace qui n'a jamais eu de scrupules à étouffer, voire effacer les libertés en commençant par la liberté de la presse. Nous n'avons qu'à nous souvenir de la débandade de la presse américaine durant l'invasion de l'Irak. Plus encore, la concentration dans la presse a des effets dévastateurs sans parler du phénomène de la convergence. L'ultra libéralisme n'a jusqu'à présent fait que des victimes. Au nom du gain, de la soi disant libre entreprise bien des méfaits sont commis.
    N'étant pas certaine de qui possède quoi au Maroc, je compte sur toi, KB, pour m'éclairer à ce sujet.

     
  • À 8:47 AM , Blogger kb a dit...

    et tu payerais combien pour que je te mette au parfum?? :-)

    kb...ultra atteint

     
  • À 10:11 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    Bravo KB!
    Excellente analyse qui se confirme d'ailleurs avec le temps.

    Ce que je regrette cependant est le manque d'espaces d'expressions pour les marocains leur permettant d'être informés sur ce qui se passe dans le Monde, dans un monde qu'on aperçoit en filigrane. Et avec tant de peine.

    J'ai aussi cette impression amère qu'il y a un délaissement de la chose publique, et ainsi le retour en arrière, le retour aux quelques acquis d'autrefois ne soit difficile... voire violent.

    Encore bravo pour ton analyse.


    Ayoub

     
  • À 11:45 AM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Quelques barils de batata?:-)

    Loula... patate

     

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