MA ROQUINERIE

"laissez l'onde aller légère aux sources du souvenir...c'est là que se trouve le meilleur à venir" kb

lundi, avril 24, 2006

Les maux de la chose

Toile de william adolphe bouguereau


















« Rime » est l’anagramme de « mire ». est-ce à dire que la rime nous invite à saisir un reflet qu’à cibler un point précis ?

« Colombe » rime avec « bombe »… alliance irrationnelle et pourtant, c’est toujours dans l’idée d’une paix plus profonde que l’on fait la guerre, que ce soit pour agrandir son espace vital ou pour anéantir les fauteurs de troubles.

« Eros » rime avec « féroce », d’aucuns en ont fait la douloureuse expérience…

l’éros, c’est l’amour de désir, celui qui nous tend vers l’autre dans l’espoir farouche d’une complétude enfin apaisante. C’est l’élan qui part du manque ; la faim de cet autre, moitié de moi-même qui me fait cruellement défaut. Tout peut être tenté pour réaliser cette union, au prix même parfois de l’eros-ion de l’autre que je dis aimer et qu’il me faut assimiler. Il y a parfois une obscure analogie entre posséder et détruire. Je me sens si souvent aimant…pourtant l’autre se sent plus aimanté qu’aimé !

pour parvenir à attirer l’autre dans mes voluptueux filets, je vais ciseler patiemment l’arme de ma séduction. Nous oublions trop souvent que « séduire » vient du latin « seducere » qui signifie « séparer, détourner ». dans le Robert, l’acceptation commune de « plaire » ne vient qu’en cinquième et dernière position.

Les séducteurs ou séductrices sont souvent passés maîtres –enchanteurs et ce qui nous est extorqué est en général notre identité. A l’instar d’Adam et Eve, ceux qui se sont laissés séduire par l’éros enjôleur, peuvent connaître l’exil après le paradis…

C'est le cas d'un certain abbé de lattaignant (très atteint certainement par la chose), qui dans un petit bijou de style se fit certainement claquer la porte du paradis au nez. Toujours est-il qu'il a démontré avec grand art comment avec deux mots simplement on peut faire une petite merveille de poème.

Le mot et la chose
Poème galant de l'Abbé de Lattaignant (1697-1779), auteur du célèbre "J'ai du bon tabac"

Madame, quel est votre mot
Et sur le mot et sur la chose ?
On vous a dit souvent le mot,
On vous a souvent fait la chose.
Ainsi, de la chose et du mot
Pouvez-vous dire quelque chose.
Et je gagerai que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose !

Pour moi, voici quel est mon mot
Et sur le mot et sur la chose :
J'avouerai que j'aime le mot,
J'avouerai que j'aime la chose :
Mais, c'est la chose avec le mot
Et c'est le mot avec la chose ;
Autrement, la chose et le mot
A mes yeux seraient peu de chose.

Je crois même, en faveur du mot,
Pouvoir ajouter quelque chose,
Une chose qui donne au mot
Tout l'avantage sur la chose :
C'est qu'on peut dire encor le mot
Alors qu'on ne peut plus la chose...
Et, si peu que vaille le mot,
Enfin, c'est toujours quelque chose !...

De là, je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose,
Que l'on doit n'ajouter un mot
Qu'autant que l'on peut quelque chose
Et que, pour le temps où le mot
Viendra seul, hélas, sans la chose,
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose !

Pour vous, je crois qu'avec le mot
Vous voyez toujours autre chose :
Vous dites si gaiement le mot,
Vous méritez si bien la chose,
Que, pour vous, la chose et le mot
Doivent être la même chose...
Et, vous n'avez pas dit le mot,
Qu'on est déjà prêt à la chose.

Mais, quand je vous dis que le mot
Vaut pour moi bien plus que la chose
Vous devez me croire, à ce mot,
Bien peu connaisseur en la chose
Eh bien, voici mon demier mot
Et sur le mot et sur la chose :
Madame, passez-moi le mot...
Et je vous passerai la chose !


Bon, Cela ne veut pas dire que l’éros et le charme sont à bannir, ce saint homme l'avait compris, mais il convient sans doute d’œuvrer intérieurement pour développer plus de plénitude afin que l’autre puisse être aimé dans son altérité et que s’ouvre la coupe de l’ « agape ». L’agape, c’est l’amour qui se donne depuis son « plein » et qui déverse sa prodigalité sans calcul.
L’agape n’a pas besoin de charmer, il coule de source… l’autre peut s’y désaltérer lorsque l’amour demande l’avait altéré.
L’amour de besoin l’avait certes rendu « autre que lui même »..
- « je vous aime !»
- « c’est étrange que je m’en sente pas mieux pour autant… »
il y a parfois dans un désir fougueux tout le terrorisme inconscient de l’être qui cherche à captiver ce qu’il a reconnu chez l’autre comme nécessaire à son unité.

Apparemment Dieu, dans sa conception traditionaliste de l'époque, ne fut pas suffisant à combler le désir d'unification du saint homme qui, au fur et à mesure de l'âge, s'affirma être d'une religiosité plus "spirituelle" que traditionaliste, grandement ouvert aux principes idéologiques de son grand ami Voltaire.
Comme quoi la philosophie et la religion se rejoignent toujours au point d'intersection de la "chose"

Kb...pour le mot et la chose

31 commentaires:

  • À 2:14 AM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Messire, avez-vous oublié ce que c'est d'aimer, de se perdre et n'avoir aucune envie de se retrouver. Avez-vous oublié que l'identité est en perpétuelle refonte et que si nous nous laissons séduire, c'est bien parfois par narcissisme. Mais, aimer, Messire, rien ne peut égaler l'envol, ce plongeon vers le ciel, vers la houle et vers ce désir que nos émotions soient éternelles même après notre disparition. N'avez-vous, jamais, Messire, frémis à la pensée de l'autre. Avoir senti sa présence même lorsqu'elle était loin?
    Rime ou pas rime, il suffit de vivre et de remercier la vie de mettre sur nos chemins la séduction car à perdre mon identité, je choisir l'amour plus que tout.
    Ah bein dis-donc faut que j'aille me coucher moi!

     
  • À 10:55 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    un con pris je suis venu au monde, pris pour con j'en partirai.
    fillette! j'en ai tremblé jusqu'au plus bas de mes bajoues. j'en ai tremblé, frémi, greloté, déliré, hoqueté, ô que t'es...,pleuré, ri, rêvé, chanté, fredonné, sussuré à la pensée de cet autre...MAIS, ô grand mais, toujours en évitant d'absorber son être par mon emphase éros-ienne. Sans ce désir de possession jusqu'à son altérité. L'amour pour moi c'est d'abord donner et si prendre en retour advient, eh bien c'est tant mieux.

    kb...en phase

     
  • À 11:17 AM , Blogger Loula la nomade a dit...

    KB,

    Tu as tout dit comme à ton habitude. L'essentiel est de donner.
    Bonne journée, la mienne commence dans quelques minutes,

     
  • À 1:36 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Kb> "Les séducteurs ou séductrices sont souvent passés maîtres –enchanteurs et ce qui nous est extorqué est en général notre identité. A l’instar d’Adam et Eve, ceux qui se sont laissés séduire par l’éros enjôleur, peuvent connaître l’exil après le paradis…"

    Que de séves d'exil j'ai bues !

    Merci Kb pour le poème (souvenirs souvenirs...), toujours en forme et inspiré pour traiter de la chose et cotoyer Eros avec ta plume, certes un peu corsée mais quand meme à la portée de celles et ceux qui connaissent véritablement la définition du mot Aimer ;-)

     
  • À 7:25 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Moi je fais comme dit Loula "passe ton bac d'abord !" (mm si ça fait 5 ans déjà..). Enfin, j'ai essayé ms j'ai pas tenu :p
    Sinon, on peut toujours se référer à "L'Amour" de Carla Bruni pour plus d'informations sur mon glorieux point de vue sur le sujet.
    Enfin, j'aime bien le style de peinture choisi.. c pas un peu raphaelite ?
    Sun Li... histoire de lard

     
  • À 7:46 PM , Blogger Loula la nomade a dit...

    Sun Li

    Veronique Sanson chante une chanson magnifique, Le temps est assasin, bien entendu faut l'écouter la chanter sur son piano, divine la sanson divine
    Quelquefois je sens les mystères
    De toutes les choses que je comprends mal
    Comme si j'étais toute seule sur Terre
    A rechercher un idéal.
    Quand l'amour le plus fou de la terre
    Se débat dans une odeur de fin
    Je dis qu'c'est ça la vraie misère
    Je dis qu'le temps est assassin.
    Et j'veux plus rien...
    J'veux plus rien...

    J'veux plus d'amour, même fidèle.
    J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
    Qui regardait, tendre et cruelle
    Fâner les amoureux quand j'étais belle.
    J'veux plus d'amour, monsieur,
    J'ai brûlé mes maîtres
    Et amoureuse, j'ai peur de l'être
    Pour avoir vu, sombre et cruelle
    Fâner ces merveilleux faiseurs de rêves
    Et mourir mes tendresses déçues.

    Quand je vois toutes les colères
    Que l'on encaisse et que l'on subit
    Pour moi l'amour, c'est comme l'enfer :
    Je dis qu'sa force est dans sa lie.
    Et j'aurai beau tout faire et refaire,
    Je serai seule et sans repères :
    Pour moi c'est ça la vraie misère
    Je dis qu'le temps est assassin.
    Et j'veux plus rien...
    Non : j'veux plus rien du tout...

    J'veux plus d'amour, même fidèle.
    J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
    Qui regardait, tendre et cruelle
    Fâner les amoureux quand j'étais belle.
    J'veux plus d'amour, monsieur,
    J'ai brûlé mes maîtres
    Et amoureuse, j'ai peur de l'être
    Pour avoir vu, sombre et cruelle
    Fâner ces merveilleux faiseurs de rêves
    Et mourir mes tendresses déçues.

    Et pourtant, comme toujours, j'me dis "Allez, allez !
    Je suis bien trop forte pour en avoir assez."
    Et encore et toujours je veux vouloir aimer,
    Je veux vouloir aimer.

    Quand l'amour le plus fou de la terre
    Se débat dans une odeur de fin
    Je dis qu'c'est ça la vraie misère
    Je dis que tout le monde est assassin.
    Et j'veux plus rien...
    Non : j'veux plus rien du tout...

    J'veux plus d'amour, même rebelle.
    J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
    Qui regardait, tendre et cruelle
    Fâner les amoureux quand j'étais belle.
    J'veux plus d'amour, monsieur,
    J'ai brûlé mes maîtres
    Et amoureuse, j'ai peur de l'être
    Pour avoir vu, sombre et cruelle
    Fâner ces merveilleux faiseurs de rêves
    Et mourir mes tendresses déçues...
    Et mourir mes tendresses déçues.

     
  • À 11:23 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    Li> il y a un peu de raphaël quoique le style de bouguerau est beaucoup plus proche du "réalisme" que celui de raphaël à l'expression beaucoup plus achevée dans l'art de casser les angles insuflant par cette rondeur du trait une douce beauté à ses toiles.
    Toujours est-il que la gloire de ces deux peintres, qui furent considérés comme les plus grands peintres de leur vivant, vint à s'estomper avec l'avénement des "impresionistes" auquel bouguerau livra une farouche résistance, ce qui lui valu apres sa mort de sombrer un peu dans l'oubli...



    kb...à voir en peinture

     
  • À 1:37 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Ainsi naquit et émergea Le style de Claude Monet...

    dima ... d'impression en impression

     
  • À 1:56 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    et de Dima qui me rend si bien la monnaie

    kb...les bons comptes

     
  • À 2:53 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Et les bons comptes font les bons amis...


    L'Origine du Monde ... à voir en peinture :)

     
  • À 5:10 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Toi , tu es en train, de jouer avec les mots, et , peut-être, en fasant "la chose", mais, je ne sais pas si tu es au courant, mais "elle", elle t'a fait un beau bébé dans le dos. Et pour te mettre au parfun - et dans le bain - je t'annonce, ça rime ou ça ne rime pas, que Houda s'est mariée.. Et avec qui ? Avec Kamal et l'Kamal lilah. Et toc !
    T'as besoin d'un doc ?
    ML...rapporteur

    PS : Si jamais cette info est déjà périmée, veuille la considérer comme nulle et non avenue.

     
  • À 5:37 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    avant de lire les commentaires pour ne pas que j'oublie je te dis simplement que j'adore la philologie...finalement on s'y perd!
    exemple:le 16 avril en 1955 le mot ordinateur a vu le jour !par un jaques pierret agregéé de lettres professeur en philologie latine a la sarbonne !waw !ordinateur est un mot provenat du littré signifiant :"dieux mettant de l'ordre dans le monde"
    et un responsable du service machin promotion de l'epoque a IBM ayant connu notre jaques machin eut l'idéé d'ppeler computer :ORDINATEUR!
    ton tableau de william adolphe est une merveille :entre nous tu as vu la discretion de la pilosité!!!!!
    autrement maintenant je vais lire le reste des commentaires

     
  • À 9:31 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    awwah!!! elle s'est mariée min ouaraya!!!et avec kamal en plus!!!
    je leur souhaite tout le bonheur du monde :):) même si je n'ai pas été invité...peut être que pour le sbou3....

    kb...vive la chose

     
  • À 9:34 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    c'est qui l'anonyme philologue???

    kb...fil au blog

     
  • À 9:47 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    en allant faire un tour chez zizi où on se poile à max, j'ai vite fait de découvrir, suite au "stainless" d'un comment, que l'anonyme n'était autre que la bélière :):)
    bienvenue à cette grande réthoricienne:):)

    kb...flatté, épilé et tout et tout

     
  • À 10:18 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    Tu les collectionnes maintenant ? fil au blog, fil en trop -"prononcez le p" que t'avais écrit dans le grenier moisi, c'était l'époque où tu collaborais avec shab l'hal- :))

     
  • À 10:35 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    dis donc dima!! t'aurais pas gardé des copies du grenier des fois??


    kb

     
  • À 2:59 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    La chose dont vous parlez est le mot le plus vague dans la langue de molière...
    KB tu sais que c'est toujours apaisant et fructueux de passer chez toi, de te lire...
    Bishara...sans mot

     
  • À 3:01 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    c'est pas toi qui parlais d'échanges épiques ? ;-)


    dima ... alzheimer ? connais pas !

     
  • À 8:54 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Ecouter je suis vraiment, mais alors là vraiment sans voix

    J'ai envie de courir supprimer mon blog tellement je le sens nul!!!

    Bon aller je vais t'épargner Kb, je vais pas te dire que j'ai adoré tes textes, tes mots, même les commentaires j’ai dévoré
    Aller c’est trop pour un seul soir, je vais aller faire un tour sur quelques autres blogs histoire de m’en remettre et je reviendrai,

     
  • À 1:03 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    @ chighaf, tout comme toi, quand je lis kb, je me dis que je vais me contenter de le lire sans rien écrire chez moi
    Hé... ton diplôme, ça s'arrose miss
    bishara...chez kb

     
  • À 2:18 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    oui ça s'arrose!!! :))

    kb...plate bande

     
  • À 8:05 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    bonsoir

    c'est troublant !
    j'aime bcp ...

    je suis encore sous le choc !
    et des mots et de la chose ;)
    bien que je ne puis me passer de l'un et/ou de l'autre !
    je reviendrais ...

    A bientôt

     
  • À 7:50 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    PAS mal ton blog soit on est amnesique soit on est trop jeune sois on est trop vieux soit on est entre les deux bien à cheval les jambes ou il faut ,et on chevauche...comme zorro!
    ce mot collectionnner derange parfois!mais on n peut s'y defaire!quoique de temps en temps il faudrait bien apprendre a s'auto analyser avant de lancer des mots le prinipe est simple,c'est comme se m'asturber ,mais en plus sophistiqué....vaut mieux gambader à cheval les jambes ou il faut que se la faire amzone arriviste...stop bien le bonjour!

     
  • À 10:22 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    merci m'dame lanonyme pour votre visite

    kb...et la masturbation du bulbe

     
  • À 6:31 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    c'est un grand, certes, et c'est un modeste en plus. Est-ce qu'il n'est pas entrain d'essayer de nous faire tourner la tête ?
    saïda

     
  • À 9:20 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    Je te sais attaché à ta vocation et tes passions. J'ai toujours en mémoire ce texte, ici archivé, sur la retraite de l'un tes ex-collégues. Un texte, hymne à l'amitié et au travail aussi. Je te sais aussi répulsif à l'oisiveté quotidienne. C'est pour cela que je passe par chez toi, aujourd'hui spécialement, pour te souhaiter une bonne fete de travail et t'offrir un joli de muguet virtuel.

    PS: une pensée sincére pour les personnes voulant travailler mais n'ayant pas la possibilité involontaire d'assouvir leur désir innocent et humain...

     
  • À 8:31 AM , Anonymous Anonyme a dit...

    Dima t'es toujours aussi attentionné...merci mon ami

    quoique j'ai trouvé le 1er Mai tres ronflant cette année. Un discours syndical désuet, tres décalé par rapport à la réalité. Les travailleurs ont défilé plus par habitude que par conviction. Des slognans scandés sans grand enthousiasme. Tout le monde s'ennuyait et ça se voyait

    kb...le 02 mai

     
  • À 4:51 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Le jour où le syndicalisme marocain cessera d'etre à la botte des partis politiques et la nuit où disparaitront des leaders opportunistes, comme Afilal ( pourquoi pas son remplaçant aussi ?) et Amaoui, de la scéne dirigeante syndicaliste, les intérets des travailleurs marocains seront rééllement défendus... Pour l'instant on doit se contenter de ce qu'on a à défaut de voir les choses changer dans le bon sens.

     
  • À 11:44 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    Bonsoir!
    Ne point oublier qu'Eros rime d'abord avec thanatos! Et l'amour avec la mort à une voyelle près!
    L'histoire du paradis perdu, d'Adam et Eve punis...etc. tout cela n'est que la version galvaudée, officielle de la bible et reprise telle quelle par le coran...
    Et si en fait, il y avait une autre version plus excitante ? Et si en définitive, cela valait la peine de quitter ce foutu paradis ou l'on s'ennuyait à mort à force de demeurer ignorant face à un dieu censé connaître tout et monopoliser tout ?
    Des chicanes que tout cela! Le plaisir de te lire est au prix de mon exil!
    Cordialement,
    maboul

     
  • À 1:24 PM , Anonymous Anonyme a dit...

    @ Maboul...j'aime bien chez toi :)

     

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