
Les soirs d'été flânants, harassés, le long de tes murs, m'envahissent langoureusement les sens de leur haleine cannelle, enivrant le souvenir cramoisi de mon regard où danse encore, en filigrane, l'ocre vaporeux de ton corps au rythme d'un tambourin... mon cœur.
Je me ferai conteur l'espace d'un instant magique, suspendu à tes lèvres aux fruits rouges de ma passion, murmure d'aube éternelle à la voix douce d'un muezzin.
Marrakech! J'ai laissé dans tes murs mon âme crucifiée aux mois rouges d'octobre que vient à peine apaiser la caresse livide d'un regard majestueux aux prunelles du Toubkal.
khalid benslimane
Ton blog est une petite merveille… ravie de le découvrir.
RépondreSupprimermerci pour ces gentils mots qui encouragent à continuer
RépondreSupprimerBonjour Khalid,
RépondreSupprimervraiment, j'aimerais revenir au Maroc un jour... il y a du merveilleux qui existe
Comme à chaque fois, je suis emerveillée et ravie. Impossible de rester impassible devant de si beaux écrits.
RépondreSupprimerchapeau bas!
F.Zora
manal> merci pour ta visite..ton blog n'est pas mal non plus
RépondreSupprimerkel> quand tu veux...:)
F.Zora> minerve demeurera ma principale inspiratrice sans ignorer le fait qu'elle fut ma première lectrice...t'es chez toi ma grande:))))